Budget, recours au crédit : les vacances d’été 2019 vues par les Européens
La moitié des Français envisagent de rester sur le territoire au cours de leurs vacances d’été, selon une étude Yougov pour Cofidis. Menée à travers les plus grands pays d’Europe, l’enquête révèle que notre budget vacances d’été n’arrive pas à la cheville de celui des Britanniques. Les anglo-saxons sont en revanche beaucoup plus friands du crédit à a consommation pour voyager. Tout ce qu’il faut savoir sur le budget des Européens pour l’été 2019.
Le budget moyen des Européens pour voyager
Voyager est un luxe que les Européens ne sont pas prêts d’abandonner. Selon l’étude menée par Yougov pour Cofidis, près de 2 habitants des pays sondée* sur 3 (63,5%) prévoient de partir cet été. Et quand vient la question du budget, on observe des réactions différentes selon la culture et les mentalités.
Des moyens de financement bien différents
L’étude révèle notamment que si les Français sollicitent encore très peu un crédit conso pour partir en vacances, d’autres, comme Britanniques, sont beaucoup moins frileux.
Source : enquête réalisée par Yougov pour Cofidis
Le sondage indique que les Britanniques ne vont pas hésiter à s’endetter pour partir cet été. Un habitant du Royaume-Uni sur 10 serait prêt à contracter un prêt à la consommation pour s’offrir des vacances. Les Français comptent eux notamment sur leur épargne, mais aussi sur le bénéfice de chèques vacances. Seuls 3% des Français se déclarent prêts à souscrire un prêt personnel ou un crédit renouvelable pour partir cet été. Le crédit voyage est de nos jours plutôt sollicité pour les grands projets, comme un tour du monde.
Les bons plans pour payer moins cher
Tous les habitants des pays sondés partagent un goût pour les économies. Le recours aux astuces et bons plans pour payer moins cher est généralisé. Réserver en amont ses déplacements et hébergements constitue le meilleur moyen pour les européens de limiter les frais. Ils sont 33% à anticiper les locations (logements) ou trajets. Un peu moins d’un tiers (29%) envisage de partir en juin ou en septembre, des dates toujours moins prisées. Enfin, 28% des interrogés ont indiqué une volonté de limiter au maximum les restaurants et autres repas coûteux.
*L’enquête a été réalisée auprès de 10440 personnes représentatives de la population de huit pays (France / Grande-Bretagne / Allemagne / Danemark / Italie / Espagne / Portugal / Pologne).
Rédigé par Johann Clisson - Mis à jour le 28/03/2023